Famiglia del conte Marco Serbelloni

[M. Balbe]

Bonjour à toutes et à tous
Je recherche des renseignements sur la famille du sieur Serbelloni Marco.
Voilà le peu de renseignement que je possède que j’ai trouvé sur internet.
Marco Serbelloni (23 juin 1748 - Milan † 6 septembre 1835 - Milan), Sénateur du Royaume, comte du Royaume d’Italie par lettres patentes du 11 octobre 1810.
Armoirie de son blason :
Écartelé : au 1, des comtes sénateurs du Royaume ; au 2, d'azur à deux griffons affrontés et rampant contre une plante de sorbier ; au 3, de gueules à un cerf élancé d'argent ; au 4, de sinople, à deux barres d'argent.
J’aurais aimé avoir le maximum d’informations sur la vie de cet homme politique durant la période napoléonienne du royaume d’Italie, fut-il un grand sénateur pour la cause Italienne ? Le titre de comte de Regno, désigne telle une région de l’Italie ?
Vous remercient d’avance pour toute information sur la vie du comte Marco Serbelloni.
Bien cordialement.
M. Balbe

Ciao a tutte e a tutti
Queste sono le poche informazioni che ho trovato su internet.
Marco Serbelloni (23 giugno 1748 - Milano † 6 settembre 1835 - Milano), senatore del Regno, conte del Regno d'Italia con lettere patenti dell'11 ottobre 1810.
Stemma del suo stemma:
Divaricato: al 1, dei conti senatori del Regno; al 2, d'azzurro a due grifoni affrontati e striscianti contro una pianta di sorbo; al 3, da bocche a un cervo slanciato d'argento; al 4, di sinople, a due barre d'argento.
Avrei voluto avere il massimo delle informazioni sulla vita di questo politico durante il periodo napoleonico del Regno d'Italia, fu un grande senatore per la causa italiana?
Il titolo di conte di Regno, designa una regione dell'Italia?
Vi ringraziano in anticipo per ogni informazione sulla vita del conte Marco Serbelloni.
Molto cordialmente.
M. Balbe

[Cawdor]

Serbelloni di Milano

https://www.persee.fr/doc/ahrf_0003-443 ... 230_1_4061

https://books.google.it/books?id=sxA5AA ... e.&f=false

[Guido5]

Nel 1983 il Ministero per i beni culturali e ambientali (oggi Ministero della cultura) ha pubblicato il volume “Insegne e simboli” di Giacomo C. Bascapè e Marcello Del Piazzo (con la cooperazione di Luigi Borgia) che si trova in rete a https://dgagaeta.cultura.gov.it/public/uploads/documents/FuoriCollana/651a46aa8080e.pdf.
A pag. 805 c’è il ruolo delle persone insignite dei titoli di duca, conte, barone, cavaliere, da parte di Napoleone nel Regno d'Italia (1807-1814) che comprende il senatore Marco Serbelloni di Milano (lettere patenti dell’11 ottobre 1810)
Il suo stemma è: "Inquartato: al primo franco, di verde alla serpe d'argento attortigliata ad uno specchio d'oro: al secondo d'azzurro con due grifoni d'argento, contrarampanti ed affrontati ad una pianta di sorbo: al terzo, di rosso ad un cervo lanciato d'argento: al quarto, di verde con due sbarre d'argento. Ornati esteriori di Conte".
Ho cercato di fare al meglio la traduzione francese del blasone.
Ciao a tutti!
Guido5
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En 1983, le Ministère du Patrimoine Culturel et Environnemental (aujourd'hui Ministère de la Culture) a publié le volume « Insignes et symboles » de Giacomo C. Bascapè et Marcello Del Piazzo (avec la collaboration de Luigi Borgia) que l'on peut consulter en ligne sur https://dgagaeta.cultura.gov.it/public/uploads/documents/FuoriCollana/651a46aa8080e.pdf.
Sur la page 805 il y a le rôle du peuple récompensé des titres de duc, comte, baron, chevalier par Napoléon dans le royaume d'Italie (1807-1814) dont fait partie le sénateur Marco Serbelloni de Milan (lettres patentes du 11 octobre 1810).
Ses armoiries sont : « Écartelé : au premier franc, vert avec une bisse d'argent tortillante autour d'un miroir d'or : au deuxième, d'azur à deux griffons d'argent, affrontés et rampants contre une plante de sorbier : au troisième, rouge à un cerf élancé d'argent : quatrième, vert avec deux barres d'argent. Timbres extérieurs de Comte ».
J'ai essayé de faire de mon mieux avec la traduction française des armoiries. Voir également en français : https://boowiki.info/art/familles-a-milan/serbelloni-famille.html.

[M. Balbe]

ciao a tutti e a tutti

Messieurs merci pour vos réponses qui me font avancées dans mes recherches.
Je viens de trouvé d'autres éléments qui me font poursuivent mes recherches sur ce préfet nommait dans la région de l'Adriatique.
Nommait chevalier de l'Ordre Royal de la Couronne de fef le 1er mars 1806. Lettre d'avis en date du 4 mars 1806.

Signori, vi ringrazio per le vostre risposte che mi hanno fatto progredire nella mia ricerca.
Ho appena trovato altri elementi che mi fanno proseguire le mie ricerche su questo prefetto nominato nella regione dell'Adriatico.
Nominato cavaliere dell'Ordine Reale della Corona il 1º marzo 1806. Lettera di parere in data 4 marzo 1806.
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]

[M. Balbe]

Cher monsieur Guido5

Pour répondre à votre question sur le blason, l’armoirie que je présente pour le Sénateur Marco Serbelloni est une réalisation que j’ai moi-même faite d’après le texte, je ne suis pas un profane dans cette réalisation, si vous_même vous pouvez faire mieux j’en suis preneur.

L’armoirie que Mr Cawdor a eu l’amabilité de me transmettre et je l’en remercie est l’armoire du frère ainé du Sénateur Marco Serbelloni.

Les derniers Serbelloni

Gabrio Serbelloni, entre autres rôles, fut également nommé maître de la milice urbaine de Milan dans les premières décennies du XVIIIe siècle, tourmenté par les guerres de Succession d'Espagne. Né en 1693, il épousa Maria Vittoria Ottoboni , romaine, qui n'avait alors que vingt ans en 1741. La différence d'âge et la forte personnalité de l'épouse rendaient le mariage très difficile, où les conflits étaient également exacerbés par des questions d'intérêts. Maria Vittoria, ayant presque immédiatement mis son mari de côté, a connu un grand succès dans la société milanaise grâce à son esprit et à sa culture. Elle était aimée de Pietro Verri, qui écrivit le Proème de sa traduction du français du théâtre comique de Destouches publiée à Milan entre 1754 et 1773. Parini lui dédia une Ode dont il reste un fragment et le sonnet Tandis que parmi la pompose . Carlo Goldoni lui a dédié la comédie La Fiancée Persane . Parini fut à son service pendant huit ans (1754-1762) comme précepteur de ses enfants, jusqu'à ce qu'une gifle donnée par Maria Vittoria à la fille du musicien Sammartini le convainque de quitter la famille.
Maria Vittoria a eu cinq enfants : Maria Ippolita (décédée très jeune ), Gian Galeazzo, Alessandro, Fabrizio et Marco .

https://www.storiadimilano.it/Personagg ... elloni.htm

Cordialement.

M. Balbe



Caro signor Guido5

Per rispondere alla sua domanda sullo stemma, lo stemma che presento per il senatore Marco Serbelloni è un risultato che io stesso ho realizzato secondo il testo, non sono un profano in questa realizzazione, se lei può fare meglio di me.

Lo stemma che il signor Cawdor ha avuto la cortesia di trasmettermi e per questo lo ringrazio è l'armadio del fratello maggiore del senatore Marco Serbelloni.


Gli ultimi Serbelloni

Anche Gabrio Serbelloni, tra le altre cariche, è nominato Maestro della Milizia Urbana nella Milano dei primi decenni del Settecento tormentata dalle guerre per la Successione spagnola. Nato nel 1693, sposa nel 1741 Maria Vittoria Ottoboni, romana, che aveva allora solo vent’anni. La differenza d’età e la forte personalità della moglie rende il matrimonio molto difficile, dove i contrasti erano acuiti anche da questioni d’interesse. Maria Vittoria, messo quasi subito in disparte il marito, ottiene grandi successi nella società milanese per il suo spirito e la sua cultura. Fu amata da Pietro Verri, che scrisse il Proemio alla sua traduzione dal francese del teatro comico di Destouches pubblicata a Milano tra il 1754 e il 1773. Il Parini le dedicò un’Ode di cui rimane un frammento e il sonetto Mentre fra le pompose. Carlo Goldoni le dedicò la commedia La sposa persiana. Il Parini fu per otto anni (1754-1762) al suo servizio come precettore dei figli, fino a quando uno schiaffo dato da Maria Vittoria alla figlia del musicista Sammartini non lo convinse a lasciare la famiglia.
Maria Vittoria ebbe cinque figli: Maria Ippolita (morta molto giovane), Gian Galeazzo, Alessandro, Fabrizio e Marco.

Cordiali saluti.

Mr. Balbe

[M. Balbe]

Son frère qui prendra le titre familial.

Gian Galeazzo Serbelloni (6 juillet 1744 – 7 mars 1802) était un noble milanais , notable en tant que président du Directoire fondateur de la République cisalpine et précepteur du poète milanais Giuseppe Parini .

Il est né à Milan de Gabrio Serbelloni, 3e duc de San Gabrio, et de son épouse Maria Vittoria Ottoboni , ce qui fait de lui un membre d'une riche famille noble. À partir de 1776, il fut surintendant de la milice urbaine de Milan. Il a soutenu les idéaux républicains français après l'invasion de l'Italie et l'occupation de la Lombardie par Napoléon Bonaparte , renonçant à ses nobles titres de comte de Castiglione Lodigiano, grand d'Espagne , duc de San Gabrio, seigneur féodal de Romagnano, marquis d'Incisa, co-seigneur de Castelnuovo Belbo. et seigneur féodal de Gorgonzola, Camporicco et Cassina de' Pecchi.
Le 21 mai 1796, il rejoint le premier conseil municipal démocratique de Milan et arrive un mois plus tard à Paris avec Fedele Sopransi et Niccoli pour plaider la cause de la liberté lombarde (selon leurs propres termes « les votes de la nation lombarde pour la liberté ») auprès du Directoire français. . Dans sa Storia dell'invasione dei francesi repubblicani nel Milanese , Pietro Verri a critiqué le choix des hommes pour cette mission diplomatique et leur manque de préparation, rapportant que le discours de Serbelloni au conseil de Milan contenait la phrase "Citoyens, ou mes os resteront à Paris ou Je te ramènerai la liberté". [1] Il revient ensuite à Milan avec Joséphine de Beauharnais , qui séjourne dans son palais Serbelloni .
Il participe à la fondation de la République cisalpine et devient président du tout premier Directoire exécutif à partir du 29 juin 1797. Il quitte ce poste le 20 novembre de la même année pour devenir ambassadeur de la République à Paris. Sept jours après la prise du pouvoir par Napoléon le 9 novembre 1799 lors du coup d'État du 18 brumaire , Serbelloni écrit à Vertemate Franchi, président du Directoire de la République cisalpine : « Bonaparte est consul et en lui j'espère le plus grand bien de notre République. sachez que nous aurons notre indépendance de facto , indépendance qui a été perdue lors de mon départ d'Italie et qui a été opprimée de différentes manières et à différentes époques par de soi-disant patriotes français qui ont proposé différentes mesures, toujours au profit de leur propre argent, depuis le mois de ventôse an VI jusqu'à nos jours". Le 3 frimaire an VIII (24 novembre 1799), Franchi (enfui à Chambéry) ordonna à Serbelloni de féliciter les consuls de France. [2]
Serbelloni accompagna Napoléon en Italie pendant la campagne 1799-1800, retournant à Milan après la victoire à la bataille de Marengo pour remettre de l'ordre dans ses terres et domaines qui furent saisis par les troupes austro-russes de la deuxième coalition lors de l'occupation de la ville. à partir du 29 avril. Il a également contribué à la rédaction d'une nouvelle constitution pour la République cisalpine et a été nommé membre de son Conseil d'État, un conseil législatif de dix hommes., [3] avant de retourner à Paris en tant que diplomate aux côtés d' Antonio Aldini .
Il assista également à la Consulte de Lyon du 11 au 26 janvier 1802 et fut élu peu après au Conseil d'État. Il tomba gravement malade à son retour en Lombardie et mourut à Milan le 7 mars 1802.

Suo fratello che prenderà il titolo di famiglia.

Gian Galeazzo Serbelloni (6 luglio 1744 - 7 marzo 1802) è stato un nobile milanese, noto come presidente del Direttorio fondatore della Repubblica Ceca e precettore del poeta milanese Giuseppe Parini.

È nato a Milano da Gabrio Serbelloni, III duca di San Gabrio, e da sua moglie Maria Vittoria Ottoboni , il che lo rende un membro di una ricca famiglia nobiliare. Dal 1776 fu sovrintendente della milizia urbana di Milano. Sostenne gli ideali repubblicani francesi dopo l'invasione dell'Italia e l'occupazione della Lombardia da parte di Napoleone Bonaparte , rinunciando ai suoi nobili titoli di conte di Castiglione Lodigiano, grande di Spagna , duca di San Gabrio, feudale di Romagnano, marchese d'Incisa, co-Gabriosignore di Castelnuovo Belbo. e signore feudale di Gorgonzola, Camporicco e Cassina de' Pecch.

Il 21 maggio 1796 entrò a far parte del primo consiglio comunale democratico di Milano e arrivò un mese dopo a Parigi con Fedele Sopransi e Niccoli per perorare la causa della libertà longobarda (secondo i loro termini «i voti della nazione lombarda per la libertà») presso il Direttorio francese. . Nella sua Storia dell'invasione dei francesi repubblicani nel Milanese , Pietro Verri ha criticato la scelta degli uomini per questa missione diplomatica e la loro mancanza di preparazione, riferendo che il discorso di Serbelloni al consiglio di Milano conteneva la frase "Cittadini, o le mie ossa rimarranno a Parigi o ti riporterò la libertà". [1] Ritorna poi a Milano con Giuseppina di Beauharnais, che soggiorna nel suo palazzo Serbelloni.

Partecipò alla fondazione della Repubblica Ceca e divenne presidente del primo Direttorio esecutivo dal 29 giugno 1797. Lasciò questo incarico il 20 novembre dello stesso anno per diventare ambasciatore della Repubblica a Parigi. Sette giorni dopo la presa del potere da parte di Napoleone il 9 novembre 1799 in occasione del colpo di Stato del 18 Brumaire , Serbelloni scrisse a Vertemate Franchi, presidente del Direttorio della Repubblica Ceca: «Bonaparte è console e in lui spero il più grande bene della nostra Repubblica. la nostra indipendenza de facto, che è stata perduta al momento della mia partenza dall'Italia e che è stata oppressa in vari modi e in diversi periodi da cosiddetti patrioti francesi che hanno proposto diverse misure, sempre a beneficio del proprio denaro, dal mese di Natale dell'anno VI fino ai nostri giorni". Il 3 Frimaire anno VIII (24 novembre 1799), Franchi (fuggito a Chambéry) ordinò a Serbelloni di congratularsi con i consoli di Francia. [2]
Serbelloni accompagnò Napoleone in Italia durante la campagna 1799-1800, tornando a Milano dopo la vittoria nella battaglia di Marengo per rimettere ordine nelle sue terre e tenute che furono sequestrate dalle truppe austro-tedeschedella seconda coalizione durante l'occupazione della città. a partire dal 29 aprile. Ha anche contribuito alla stesura di una nuova costituzione per la Repubblica Ceca ed è stato nominato membro del suo Consiglio di Stato, un consiglio legislativo di dieci uomini. [3] prima di tornare a Parigi come diplomatico al fianco di Antonio Aldini.
Partecipò anche alla Consulta di Lione dall'11 al 26 gennaio 1802 e fu eletto poco dopo al Consiglio di Stato. Si ammalò gravemente al suo ritorno in Lombardia e morì a Milano il 7 marzo 1802.

[M. Balbe]

Bonjour

Un complément d’information sur le blason et sa généalogie du comte Serbelloni Marco.

Buongiorno

Ulteriori informazioni sullo stemma e la sua genealogia del conte serbo Marco.

[M. Balbe]